Ce 11 novembre 2017 jour de commémoration de l’Armistice du 11 novembre 1918 , soit 99 ans après la fin des quatre années d’horreur de la « Grande Guerre », nous étions un petit groupe d’habitants venus malgré la pluie (il pleuvait aussi il y a un an) devant le monument aux morts nous souvenir du sacrifice de tous ceux qui ont laissé leur vie dans cette guerre.
Après la dépose de la gerbe portée par Manon (déjà mise à contribution le 8 mai ) au pied du monument, le Maire, Gilles Charpy-Puget, lut le discours de circonstance, puis ce fut l’énoncé des noms des morts pour la France de notre commune.

Rappelons en particulier ceux qui sont morts en 1917 :
Henri BONNET, MORT POUR LA FRANCE, le 26 juillet 1917, il avait moins de 19 ans.
Louis Joseph LAPRÉE, MORT POUR LA FRANCE, le 25 juin 1917, il avait 28 ans.

Après la minute de silence, tous les participants se rendirent à la salle communale pour le verre de l’amitié.
Reportage et photos Maxime Renard
























Photos Maxime Renard























































































une vingtaine de personnes donc ont partagé la galette, quelques-uns ont eu la chance de “tomber” sur la fève et de voir leurs têtes couronnées dont Jeannine Charpy-Puget
et Maryse Putin.
En plus du goûter offert par la commune, le CIAS et la commune offrent à tous les aînés de plus de 70 ans des ballotins et une 1/2 bouteille de crémant afin de fêter au mieux la nouvelle année.
Dans ce beau texte, un grand père joué par Yves Graffey retrouve son adolescent de petit-fils Gus joué par Vincent Dedienne pour quelques jours dans la campagne picarde. Rencontre improbable : ils se connaissent peu et vont s’affronter. Puis doucement ils s’apprivoisent, se confient, se révèlent. Souvenirs douloureux et indélébiles de la guerre d’Algérie pour le grand père, difficulté d’être dans ce monde, pour Gus . L’émotion est grande et ces deux personnages que tout semblait opposer forment un beau duo où la tendresse pointe doucement. Nombreux parmi les spectateurs étaient ceux qui avaient connu Vincent petit, l’émotion n’en était que plus vive.
Bravo à l’amicale laïque qui a pris sous sa houlette l’ initiative de ce joli voyage cruzillois, culturel et émouvant (Merci Armelle ! ). Vincent poursuit ses tournées avec un autre spectacle qu’il a écrit, « S’il se passe quelque chose », un Seul-en scène drôle, très personnel, émouvant encore, et très remarqué partout où il se produit. Il était à Clermont-Ferrand samedi, à St Etienne Dimanche dernier. Il sera le 18 AVRIL à Louhans : « Foi de Cruzillois, on a bien l’intention d’être là ! »…UN TRANSPORT EN BUS VA ETRE ORGANISE POUR ALLER VOIR CE SPECTACLE.
Cette année le soleil était encore au rendez-vous pour cette 10ème édition. Les exposants, plus d’une cinquantaine, étaient venus des environs comme d’habitude. Vers 5h du matin les premiers étaient déjà sur les lieux, impatients de se mettre en place. L’installation sur la place Ponthus s’est faite tranquillement, mais au cordeau, ou presque, pour arriver à un ensemble agréable à parcourir pour les nombreux visiteurs de la journée.
Victime de son succès, la buvette a eu du mal à fournir tout le monde ! L’année prochaine, elle s’attachera à être encore plus achalandée. Seule une petite averse est venue en fin d’après-midi perturber les étalages, accélérant tout à coup le rangement des exposants.
Cédric Crémona, le tout nouveau président de Cruzille Patrimoine, avec toute son équipe, remercie toutes les personnes qui ont aidé à cette organisation, il donne rendez-vous à tous, villageois ou amis du village, à participer aux autres actions qui contribuent, directement ou indirectement, tout au long de l’année, à préserver, à rendre plus agréable, ou à animer notre belle commune de Cruzille. Claire Cornillon Photos Cédric Crémona
Oui, et bien c’est raté : la dévoreuse est revenue ou plutôt sa petite sœur. Et celle-ci n’a pas eu la capacité, ni l’appétit de la précédente qui s’était étranglée avec un morceau de ferraille le 29 mai dernier. Après un début de repas prometteur au carrefour de la croix près de la roche Sainte-Geneviève, l’engin s’est déplacé jusqu’au pré face au PAV pour attaquer les énormes troncs épargnés lors de la précédente intervention.
Avec beaucoup de difficultés, la machine en a croqué quelques uns, puis devant la dimension et le poids des trois derniers, elle a capitulé, repliant ses appendices et battant piteusement en retraite. Les rescapés vont rester bien tranquilles dans leur champ, jusqu’ à ….?
